APELA

Association Pour l'Étude des Littératures Africaines

Archive for the 'Non classé' Category

11 juillet
0Comments

« Nouveaux rires africains et afropéens »

Un futur numéro de la revue Humoresques (N°37, automne 2013), sous la direction de Rémi Astruc sera consacré aux expressions comiques d’auteurs africains ou d’origine africaine.

Il s’agira si possible de donner une vue des nouvelles tendances dans la création humoristique qui se sont dessinées au cours des 20-30 dernières années.

Pour faire place à une certaine réalité diasporique ou globalisée, le numéro devrait s’appeler Nouveaux rires africains et afropéens. Il serait souhaitable que différents arts et médias soient dans la mesure du possible représentés (presse, caricature, danse, théâtre, cinéma, culture populaire, etc.), même si la littérature aura certainement une place de choix.

Les études de type monographique seront les bienvenues même si une certaine mise en perspective historique sera attendue pour comprendre la spécificité des trente dernières années en matière d’expression humoristique. Des études de type comparatiste ou à dimension réflexive et théorique sont également attendues.

Les articles ne doivent pas dépasser les 25000 signes espaces et notes comprises.

►Les propositions sont à envoyer pour le 15 sept 2012

►Les articles après acceptation devront être livrés dans la première quinzaine de Janvier 2013

Les propositions argumentées (1 page + rapide bio-bibliographie de l’auteur) sont à envoyer simultanément à astruc.remi@orange.fr et contacthumoresques@gmail.com

16 février
0Comments

Sommaire du numéro 32

DOSSIER

L’enfant-soldat : langages & images

Textes réunis par Nicolas Martin-Granel

_________________________

Présentation. Le plomb et la plume
(Nicolas Martin-Granel)    7
L’ange du désert
(Patrice Nganang)    17
Enfants-soldats au Nigeria : les romanciers témoignent
(Françoise Ugochukwu)    20
The Child Soldier’s Soliloquy. Voices of a New Archetype in african writing
(Susanne Gehrmann)    31
La voix de Sozaboy (Pétit Minitaire) ou comment passer du leurre de « la langue » à la construction d’un ethos ?
(Myriam Suchet)    44
Quelle voix pour l’enfance ? Sur les récits d’enfants-soldats africains
(Daniel Delas)    55
Feu croisé sur l’afropessimisme (E. Dongala, A. Kourouma)
(Florence Paravy)    60
White Material sous l’angle de la vulnérabilité
(Isabelle Favre)    68
Sur l’impossibilité de représenter l’enfant-soldat dans Song of night de Chris Abani
(Kenneth Harrow)    78
L’enfant-soldat vu par la fiction africaine : à propos de La Guerre et la paix de Moni-Mambu par André Lye Yoka
(Pierre Halen)    91
De la vie à l’œuvre. Entretien avec Serge Amisi
(Patrice Yengo et Julie Peghini)    106
Biographie du livre : dialogue sur la genèse
(Jean-Christophe Lanquetin et Jean-Luc Raharimanana)    116
Serge Amisi, kadogo en toutes lettres
(Joseph Tonda)    126

_________________________

VARIA
« La littérature africaine n’existe pas », ou l’effacement des traces identitaires dans les littératures africaines subsahariennes de langue française
(Thorsten Schüller)    135
À propos des « classiques africains ». Quels modèles pour un canon des littératures africaines ?
(Contribution de János Riesz)    147
_________________________

COMPTES RENDUS
•    AMURI MPALA-LUTEBELE (M.) (Textes réunis par -), Aura d’une écriture. Hommage À Georges Ngal (P. Halen)    159
•    BENARAB (A.), Frantz Fanon. L’homme de rupture (V. Lalagianni)    161
•    BRUGIONI (E.), PASSOS (J.), SARABANDO (A.), SILVA (M.-M.), coord., Áfricas contemporâneas. Contemporary Africas (K. Ferreira-Meyers)    162
•    COULIBALY (A.), Des techniques aux stratégies d’écriture dans l’œuvre romanesque de Tierno Monénembo (X. Garnier)    164
•    CURREY (J.), Quand l’Afrique réplique. La collection « African Writers » et l’essor de la littérature africaine (D. Ranaivoson)    166
•    DEBLAINE (D.) et ABDELKADER (Y.), dir., Transmission et théories des littératures francophones. Diversité des espaces et des pratiques linguistiques (K. Aggarwal)    168
•    DIOP (P.S.), Glossaire du roman sénégalais (K. Aggarwal)    170
•    DIOUM (B.), La Trajectoire de Léopold Sédar Senghor. Du terroir à l’universel (T. De Raedt)    171
•    DURAND (J.-F.) et SEILLAN (J.-M.), dir., L’Aventure coloniale (F. Paravy)    173
•    FÉDRY (J.), Anthropologie de la parole en Afrique (P. Keita)    175
•    HIRSON (D.), dir., Afrique du Sud : une traversée littéraire. Un livre CD de D. Coussy, D. Hirson & J. Metelerkamp (M. Naumann)    177
•    KANE (C.), La Quête identitaire chez les écrivains de la moyenne vallée du fleuve Sénégal (T. Dia Touré)    179
•    MARTINEZ (N.), Écritures africaines. Esthétique et fonction des écritures dogon, bamana et sénoufo (C. Boscolo)    181
•    MCKINNEY (M.), The Colonial Heritage of French Comics (H. Frey)    183
•    MIKALA (G.N.), Stratégies discursives de la satire et rhétorique de la honte chez Ahmadou Kourouma (C. L. Dehon)    185
•    MUNRO (M.), dir., Haiti Rising : Haitian History, Culture, and the Earthquake of 2010 (A. Dieudé)    187
•    NISSIM (L.), éd., Boubacar Boris Diop (S. Gehrmann)    189
•    PANGOP KAMENI (A.C.), Rire des crises postcoloniales. Le discours intermédiatique du théâtre comique populaire et la fictionnalisation de la politique linguistique au Cameroun (P. Fandio)    191
•    REDOUANE (N.) et BENAYOUN-SZMIDT (Y.), dir., Ahmed Beroho (E. Oktapoda)    193
•    TOUBIANA (D.), Traversées de la subversion. Les dramaturgies d’expression française (S. Le Moigne-Euzenot)    195
•    VAKUNTA (P.), Indigenization of Language in the African Francophone Novel. A New Literary Canon (F. Ugochukwu)    197
•    VERDIN (P.), Alioune Diop, le Socrate noir (D. Delas)    198
•    VIERKE (C.), On the Poetics of the Utendi. A Critical Edition of the Nineteenth-Century Swahili Poem « Utendi wa Haudaji » together with a Stylistic Analysis (X. Garnier)    199
•    WAWRZINEK (J.) & MAKOKHA (K.S.), eds., Negociating Afropolitanism. Essays on Borders and Spaces in Contemporary African Literature and Folklore (F. Ugochukwu)    202
________________________

NOTES BIBLIOGRAPHIQUES
•    Intel’Actuel. Revue de Lettres et Sciences Humaines, n°9, 2010 (A.M.É. Adjoumani)    204
•    TOULIER (B.), LAGAE (J.), GEMOETS (M.), Kinshasa. Architecture et paysage urbains (P. Halen)    204

01 décembre
0Comments

Ouvrage : « la littérature négro-africaine aujourd’hui »

Appel à contributions

Appel à contributions à un ouvrage collectif de référence qui se propose de faire le point des connaissances sur la littérature négro-africaine aujourd’hui.

1- Thème général : Les nouvelles tendances de la littérature négro-africaine.

2-Argumentaire

L’évolution de la littérature négro-africaine est marquée par le développement de tendances ayant manifesté dans le temps la maturité des écrivains qui l’animent. Lorsqu’on considère, par exemple, le genre romanesque qui représente le genre majeur de cette littérature, de la tendance pro-coloniale observée chez les premiers écrivains, on est passé au courant anticolonial illustré principalement par des créateurs tels que les Camerounais Mongo Béti et Ferdinand Oyono, le Sénégalais Sembène Ousmane.

Dans les années 60 et 70, les tendances se diversifient, notamment avec le courant du désenchantement manifesté à travers la critique politique marquée, entre autres, par Alioum Fantouré, Ahmadou Kourouma, l’approche culturaliste notée chez le Burkinabé Nazi Boni, les Béninois Olympe Bhêly-Quenum et Jean Pliya, la rencontre des cultures chez Bernard Dadié, Seydou Badian (avec Climbié, 1956, et Sous l’orage, 1957, la question est même antérieure à 1960), Cheikh Hamidou Kane, la tendance néo sociale chez Henri Lopès et Mariama Bâ en fonction des nouveaux problèmes qui se posent sur le continent.

Depuis les années 90, les tendances se diversifient davantage et le lecteur observe des rapports croisés des auteurs au fait sociopolitique et culturel. Les autres genres littéraires, notamment ceux de la littérature orale, présentent aussi, dans leur évolution, des niveaux remarquables de croisements complexes des approches choisies par les écrivains.

Comme on peut s’en douter, la complexification de ces rapports présente un intérêt particulier pour le critique littéraire et elle mérite d’être décryptée au moyen des outils de lecture et d’analyse qu’offrent les méthodes d’approche du texte littéraire. C’est un travail de bilan et de prospective  que veulent réaliser les initiateurs de ce projet.

Le présent appel à contributions ambitionne donc de faire le point sur les nouvelles voies offertes par la littérature négro-africaine et sa critique dans la production littéraire et l’analyse de cette plume. Il entend faire connaître les nouvelles approches du fait sociopolitique et culturel africain aussi bien dans les dans les œuvres de fiction que dans celles de la littérature orale et s’adresse à tous les chercheurs intéressés par le projet.

3-Les grands axes de la recherche

3-1-Littérature orale

–          Société, culture, politique culturelle et linguistique, contexte de production, de diffusion, de conservation, enseignement… ;

–          Situation et perspectives de la littérature orale ;

–          Les grands axes de la recherche en littérature orale.

3-2-Littérature écrite en langues africaines

–          Société, culture, politique culturelle et linguistique, contexte de production, de diffusion, enseignement… ;

–          Situation et perspectives de la littérature écrite en langues africaines ;

–          Les grands axes de la littérature écrite en langues africaines.

3-3-Littérature écrite en langues européennes

–          Français

–          Anglais

–          Portugais

Contexte de la production : société, culture, politique culturelle, édition, diffusion, enseignement, instances de distinctions, vie associative… ;

Situation et perspectives des différents genres.

3-4-Osmose : littérature sans frontière :

Ou comment les différentes branches de la littérature africaine se croisent et se fécondent.

3-5-La littérature négro-africaine et les NTIC

4-La rédaction et la présentation des contributions

Les contributions seront présentées en français, selon le format Word, police Times new Roman, taille 12, interligne 1,5. Les citations seront soulignées en italique et, lorsqu’elles couvrent plus de trois lignes, doivent être détachées du texte, en italique avec tabulation 3.

Les notes de bas de pages seront faites par page et non de façon continue.

Les titres des ouvrages seront présentés en italique et, ceux des articles, placés entre guillemets. La bibliographie sera élaborée par ordre alphabétique du nom des auteurs et de la manière suivante :

Nom de l’auteur, son ou ses prénoms, titre de l’ouvrage, lieu de publication, édition, année de parution, nombre de pages ; ce qui donne, par exemple :

-HUANNOU, Adrien, La dissertation de culture générale aux examens et concours bac, niveau bac et plus, Cotonou, Editions CAAREC, 2010, 143 p.

-MIDIOHOUAN-GBIKPI, Thécla, « Créations baroques et littérature fantastique chez Olympe Bhêly-Quenum » in CLEO GODIN, Jean, (textes réunis par), Nouvelles écritures francophones : vers un nouveau baroque ?, Montréal, Presses Universitaires de Montréal, 2001, pp.132-142.

5-Date limite et adresse d’envoi des propositions

Les propositions de contributions, constituées d’un titre et d’un résumé de 200 mots environ, seront envoyées au Professeur Mahougnon KAKPO de l’Université d’Abomey-Calavi par courriel mkakpo2008@yahoo.fr au plus tard le 29 décembre 2011. Les textes définitifs sont attendus le 30 janvier 2012 au plus tard.

21 novembre
0Comments

3ème journée d’études de l’équipe 3 « Langue et Pragmatique »

Appel à communications

« Les littératures en langues africaines sur le Net : Circulation, transmission et création »

Jeudi 22 mars 2012

3ème journée d’études de l’équipe 3 « Langue et Pragmatique »

Organisée par Ursula Baumgardt et Mélanie Bourlet
(INALCO/LLACAN-CNRS)

 

L’interrogation portera sur le rapport entre espaces virtuels et littératures en langues africaines. Il s’agira au cours de cette journée de mettre à l’essai l’hypothèse suivante : la spécificité de la communication sur le Net a une incidence sur les modes de création, de transmission et de circulation des littératures en langues africaines (orales et écrites)
Espace « rhizomatique » (Deleuze et Guattari) par définition, Internet offre des possibilités de communication littéraire spécifiques. Parmi elles, la capacité à condenser et agencer sur un même site, voire une même page, des écrits de différentes natures (ex : des poèmes surgissant dans des forums de discussion) ; la vitesse, la spontanéité et la simultanéité des échanges verbaux ; la condensation des espaces-temps (superposition du local, du national et de l’international) et des médiums de communication (image, son, écriture) ; la visibilité au monde ; la circulation du regard à l’intérieur des sites ; les ramifications théoriquement infinies des sites (un écrit en amène un autre, peut être poursuivi le lendemain ou interrompu brusquement, repris, etc) ; des modes de composition particuliers où le texte peut être immédiatement soumis à lecture, où l’auteur est aussi lecteur et le lecteur, parfois auteur.
Le cas des littératures en langues africaines est de ce point de vue tout à fait intéressant à explorer. Extrêmement localisées, souvent peu connues d’un large public, les littératures en langues africaines, qu’elles soient orales ou écrites, ont des modes d’existence particuliers. La performance, par exemple, qui réunit dans un même cadre spatio-temporel énonciateur et destinataire est un élément essentiel dans l’approche d’un genre littéraire oral. Quant aux littératures écrites en langues africaines, elles sont difficilement accessibles, encore moins connues, le livre y est souvent un objet rare (tirages limités) et elles entretiennent avec l’oralité et l’écriture, des rapports complexes. Dans ces conditions, il est légitime de se poser la question des modalités d’existence des littératures en langues africaines sur la Toile, de ce que cette vie sur le web nous apprend de ces littératures, de leurs usages mais aussi des possibilités nouvelles qui s’offrent elles. Internet n’est-il pas un moyen de transmission (faire connaître une littérature dans une langue), une possibilité de « délocaliser » des écrits, de les rendre visibles, accessibles à un public national et international, mais aussi une stratégie de contournement des difficultés éditoriales (beaucoup d’auteurs non publiés, Internet est aussi un moyen de se faire connaître) ?

L’objectif de cette journée sera donc à la fois d’explorer quelques-unes des modalités d’existence de l’expression littéraire en langues africaines sur la Toile, à partir d’études de cas, tout en replaçant ces dernières dans une réflexion plus générale portant sur l’espace et la communication littéraires.

Vous pouvez envoyer vos propositions d’interventions (de 300 à 500 mots maximum) accompagnées de vos coordonnées et de votre affiliation institutionnelle à Ursula Baumgardt (ursula.baumgardt@wanadoo.fr) et Mélanie Bourlet (melanieb6@yahoo.comau plus tard le 1er février 2012.

N.B : Aucune publication spécifique n’est prévue de cette journée, mais certaines de ces interventions pourront figurer dans la publication des communications portant sur les pratiques d’écritures en langues africaines sur Internet (équipe 3.2 du LLACAN sur l’Ecrit) prévue à la fin du quadriennal, en 2013.

02 novembre
0Comments

Colloque Aix la Chapelle, Septembre 2011

favicon

14ème Congrès de l’Association pour l’Étude des Littératures africaines (APELA)
« L’auteur »

RWTH, AASCHEN-22-24 SEPTEMBRE 2011

Organisé par Anne Neuschäfer (RWTH, Aachen), Daniel Delas (U. Cergy-Pontoise), Pierre Halen (U. Metz) et Catherine Mazauric (U. Toulouse II Le Mirail)

Télécharger l’appel à communication (format .pdf) :Icon046.ico

Rappel : le Congrès de l’APELA est ouvert aux membres de l’association à jour de leur cotisation.

PROGRAMME

Mercredi 21 septembre : Dîner informel le soir

Jeudi 22 septembre :

9h-9h45h : ouverture officielle par le Doyen de la Faculté de Philosophie (Prof. Will Spijkers) et MM. les Ambassadeurs de Côte d’Ivoire, d’Angola et du Mozambique, puis présentation de la thématique du colloque par Anne Neuschäfer (RWTH, Aachen) et Pierre Halen (U. Metz).

9h45-10h15 : inscriptions, réglement des cotisations à l’APELA.

10h15-11h : Conférence plénière de Jérôme Roger (U. Bordeaux III), « ‟Gardons-nous de suivre la pensée d’un auteur” : retour sur quelques lieux communs ».

11h-11h30 : Pause

11h30-13h : Sessions 1 et 2

Session 1, « L’auteur et ses nations » : Maria Benedita Basto (U. Paris IV), « De la littérature légale et du désir d’auteur : quelques réflexions sur les littératures africaines en général et sur les littératures angolaise et mozambicaine en particulier » ; Fabiola Écot-Ayissi (U. Paris VIII et Barcelone), « Autour de Leoncio Evita Enoy, premier auteur de la littérature guinéenne (Guinée Équatoriale) » ; Anis Ben Amor (U. Humboldt, Berlin), « Rôle de l’écrivain africain dans l’ère littéraire post-nationaliste chez Dambudzo Marechera ».

Session 2, « L’auteur multiplié » : Khalid Zekri ( U. Moulay Ismail, Meknès), « Être auteur dans une littérature sans maîtres nationaux : le cas du Maghreb » ; Martin Lemotieu (U. Yaoundé 1), « Phratrie congolaise et problématique auctoriale dans un espace littéraire particulier : le Congo Brazzaville des années 1970 à 2000 » ; Nicolas Martin-Granel (ITEM-CNRS), « L’auteur et ses nègres : le cas Sony Labou Tansi ».

13h-15h : Pause déjeuner (buffet), suivie d’une visite guidée de la cathédrale d’Aachen.

15h-16h30 : Sessions 3a & 4a, symposium des doctorants A

Session 3a, « Fabrique de l’auteur » : Daniel Delas (U. Cergy-Pontoise), « Invention d’un auteur ? Le cas de Camara Laye » ; Charles K. Djungu-Simba (U. Kinshasa), « Pseudonymats et instabilités onomastiques : la signature de productions littéraires (et culturelles) congolaises » ; Jean-Pierre Orban et Claire Riffard (U. Paris XIII et ITEM-CNRS), « L’auteur africain, entre instance éditoriale et autonomie de création ».

Session 4a, « L’auteur et ses lecteurs » : Sarah Burnautzki (EHESS Paris et U. Heidelberg), « L’auteur africain – Enjeux de pouvoir et processus de légitimation et de déligitimation dans le champ littéraire » ; Obioma Ofoego (ENS Paris et U. Toulouse II Le Mirail), « Quelques remarques sur la réception critique de Christopher Okigbo » ; Flavio Quintale (RWTH, Aachen), « Pepetela et les métamorphoses politiques d’un auteur et de sa génération : une lecture de A Geração da Utopia ».

Symposium des doctorants A : Claire Ducournau (EHESS Paris), « De l’écrivain amateur au « classique africain » : comment mesurer la reconnaissance littéraire des auteurs contemporains issus de pays francophones d’Afrique subsaharienne ? » ; Kaiju Maria Harinen (U. Turku), « Image de l’auteur et pseudonyme dans la littérature d’Afrique subsaharienne écrite par les femmes : l’exemple de Ken Bugul » ; Anne-Catherine Luther (RWTH, Aachen), « Were-Were Liking, faire l’art d’une prêtresse – qu’est-ce que cela représente ? » ; Gaël Ndombi-Sow (U. Metz), « Mode d’entrance et posture d’un auteur dans le champ littéraire ».

16h30-17h : Pause

17h-18h30 : Sessions 3b & 4b

Session 3b, « Fabrique de l’auteur » : Pierre Halen (U. Metz), « Thadée Badibanga et consorts : une réflexion sur l’invention de l’artiste congolais moderne dans l’entre-deux-guerres » ; Anne Neuschäfer (RWTH, Aachen), « Prise de la parole ou émergence de l’écriture ? À propos de récentes interventions écrites de l’association des femmes baoulé en Côte d’Ivoire » ; Thorsten Schüller (U. Mainz), « Jouer la carte nègre – la réception conditionnée des littératures africaines ».

Session 4b, « L’auteur et ses lecteurs » : Elena Bertoncini (U. L’Orientale di Napoli), « Auteurs swahili – écrivains intellectuels ou romanciers populaires ? » ; Michel Naumann (U. Cergy-Pontoise), « L’auteur, celui qui nomme et celui qui dénomme (sur Biyi Bandele) » ; Rémi Armand Tchokothe (U. Bayreuth), « Quand l’auteur tue le critique ! (sur des auteurs swahili) ».

À partir de 19h : Dîner.

Vendredi 23 septembre

9h30-11h : Sessions 5a & 6a, symposium doctorants B

Session 5a, « Figures d’auteurs, postures, mises en scène » : Marie-Rose Abomo-Maurin (U. Orléans et Yaoundé 1), « Comment être un auteur classique lorsqu’on est écrivain camerounais ? » ; Viviane Azarian (U. Bayreuth), « La mise en scène de l’écrivain dans les écritures de soi africaines » ; Buata Malela (U. Copernic, Torun), « L’auteur africain à travers les médias : Mabanckou et Miano réinventés ».

Session 6a, « L’auteur à l’écoute de l’oralité » : Tania Macedo (U. Sao Paulo), « Entre l’auteur et le nomade, le critique (sur Manuel Rui et Ruy Duarte de Carvalho) » ; Dominique Ranaivoson (U. Metz), « Griot, conteur ou mpikabary, personnage africain en quête d’auteur » ; Helmut Siepmann (U. Köln), « L’auteur arrangeur de textes ».

Symposium des doctorants B : Abraham Brahima (U. Bayreuth), « Auteurs digraphes et traducteurs subliminaux : sur quelques défis de la fonction auctoriale en situation de diglossie » ; Aphrodis Gakwasi (RWTH, Aachen), « Anonymat et identité d’auteurs d’articles de journal. Le cas de la presse écrite de Côte d’Ivoire » ; Nina Stauff (RWTH, Aachen), « Wilfried N’Sondé : porte-parole du sujet post-migratoire ».

11h-11h30 : Pause

11h30-13h : Sessions 5b & 6b

Session 5b, « Figures d’auteurs, postures, mises en scène » : Ute Fendler (U. Bayreuth), « Cinéastes africains : auteurs, griots ou grioteurs ? » ; Alain Ricard (CNRS) « Autour de l’auteur dans le cinéma documentaire (Jean Rouch et Oumarou Ganda) » ; Richard Samin (U. Nancy II), « Es’kia Mphalele, un classique sud-africain ».

Session 6b, « L’auteur à l’écoute de l’oralité » : Christine Le Quellec-Cottier (U. Lausanne), « Conte ou mécompte d’auteur ? » ; Jean-Marie Kouakou (U. Cocody), « Auteurs en partage » ; Françoise Ugochukwu (Open University), « Auteurs en langue africaine donc inconnus ? Comparaison entre Tony Ubesie et Pita Nwana (Igbo, Nigeria) ».

À partir de 14h : excursion au Musée africain de Cadeer en Keer – nécessité de s’inscrire au préalable, dîner sur place (payant).

Samedi 24 septembre

9h30-11h : Table-ronde « Être un auteur africain aujourd’hui, situations et conflits », animée par Catherine Mazauric (U. Toulouse II Le Mirail), avec Ondjaki, Théo Ananissoh…

11h-11h30 : Pause

11h30-12h30 : la parole aux Grands Témoins, Jean Verrier (Univ. Paris VIII) et Gérard Lezou Dago (Univ. Cocody).

13h : Clôture du colloque

14h-17h : Assemblée Générale ordinaire de l’APELA.

Venir à Aachen

  • par le train : Thalys depuis Paris (gare de Paris-Nord) et Bruxelles (gare de Bruxelles-Midi)
  • en avion : via Charleroi, Liège ou Maastricht (compagnies à bas coût), ou via Köln (Cologne) ou Düsseldorf (compagnies régulières), puis liaisons ferroviaires pour rejoindre Aachen.

Les intervenants seront logés (à la Maison d’hôtes de l’Université ou à l’hôtel Am Marschiertor, proche de la gare principale) par l’organisation du colloque (réservations faites par celle-ci, au-delà de 2 nuitées, prévoir le règlement des nuitées supplémentaires) ; une liste d’hôtels sera fournie aux autres participants et accompagnants.

Renseignements pratiques : sekretariat@romanistik.rwth-aachen.de

Responsable : Prof. Dr. Anne Begenat-Neuschäfer

Lehrstuhl I und Institut für Romanische Philologie der RWTH Aachen

Kármánstr. 17-19

52062 Aachen

12 septembre
0Comments

Sommaire du numéro 31

DOSSIER

Nairobi. Urbanités contemporaines

Textes réunis par Aurélie Journo

___________________________________

Présentation
Littérature urbaine et renaissance littéraire au Kenya
Aurélie Journo 5
L’écriture de la ville de Nairobi dans les œuvres de la nouvelle scène littéraire kenyane
Aurélie Journo 13
Le Nairobi des poètes : une géographie des pratiques littéraires de la « génération kwani »
Olivier Marcel 25
Le roman urbain et la nouvelle classe moyenne
Hervé Maupeu 39
« It’s never just one road » : Genga-Idowu et la prostitution dans l’espace urbain de Nairobi
Colomba Muriungi 50
La fiction urbaine contemporaine swahilie : quelques pistes
Sheila Ali Ryanga et Rachel Wangari Maina 57

_______________________________

VARIA

À propos de Aimé Césaire (1913-2008) par Romuald Fonkoua
Contributions de Lilyan Kesteloot, Daniel Delas & Pierre Halen 69

_______________________________
COMPTES RENDUS

• ABOMO-MAURIN (M.-R.), dir., Tchicaya ou l’éternelle quête de l’humanité de l’homme (Y.M. Ndong Ndong) 83
• AMOUGOU (L.B.), dir., La Mort dans les littératures africaines contemporaines (K. Ferreira-Meyers) 84
• BAUMGARDT (U.) et BORNAND (S.), dir., Autour de la performance (C. Boscolo) 86
• BEKERS (E.), HELFF (S.), MEROLLA (D.), dir., Transcultural Modernities : Narrating Africa in Europe (Buata B. M.) 87
• BONI (T.), La Diversité du monde. Réflexions sur l’écriture et les questions de notre temps (K. Milébou Ndjavé) 88
• BOUCHER (G.), Poètes créoles du XVIIIe siècle : Parny, Bertin, Léonard (Buata B. M.) 89
• CAMBON (V.), CHEMAIN-DEGRANGE (A.), GASTALDI (M.), éd., « Littérature-Monde » francophone en mutation. Écritures
en dissidence (A. Demeulenaere) 91
• CHAULET ACHOUR (C.), Gouverneurs de la rosée de Jacques Roumain. La pérennité d’un chef-d’oeuvre (F. Paravy) 92
• CHAULET ACHOUR (C.) et MOULIN-CIVIL (F.), éd., Le Féminin des écrivaines Suds et périphéries (D. Ranaivoson) 93
• DELAVIGNETTE (R.), Les Paysans noirs (P. Halen) 95
• EUZENOT-LE MOIGNE (S.), Sony Labou Tansi. La Subjectivation du lecteur dans l’oeuvre romanesque (S. Nzouzi) 96
• FIELD (R.), Alex La Guma. A Literary and Political Biography (R. Samin) 98
• GRAVE (J.), éd., L’Imaginaire du désert au XXe siècle (A. Demeulenaere) 99
• GYSSELS (K.), Passes et impasses dans le comparatisme postcolonial caribéen. Cinq traverses (C. W. Scheel) 100
• HÉLIAS (F.) et HOAREAU (S.), dir., Îles de l’océan Indien (D. Ranaivoson) 102
• HOFFMANN (L.-F.), Haïti : regards (Inengue Vuadens) 103
• HUSTI-LABOYE (C.), La Diaspora postcoloniale en France. Différence et diversité (Buata B. M.) 105
• MANGEON (A.), La Pensée noire et l’Occident. De la bibliothèque coloniale à Barack Obama (F. Paravy) 106
• MENGEL (E.), BORZAGA (M.), ORANTES (K.), dir., Trauma, Memory, and Narrative in South Africa. (B. Lebdai) 108
• NAHLOVSKY (A.-M.), La Femme au livre. Les écrivaines algériennes de langue française (F. Aïtel) 110
• OUÉDRAOGO (J.), dir., L’Imaginaire d’Ahmadou Kourouma. Contours et enjeux d’une esthétique (A. Coulibaly) 111
• PUJARNISCLE (E.), Philoxène ou de la littérature coloniale (G. Ndombi-Sow) 113
• QUAGHEBEUR (M.) et TSHIBOLA KALENGAYI (B.), dir., Aspects de la culture à l’époque coloniale en Afrique centrale.
Littérature. Théâtre (P. Halen) 114
• RUBIALES (L.), dir., L’Autobiographie dans l’espace francophone. IV. Les Caraïbes et l’Océan Indien (P.B. DAH) 116
• SEYDOU (C.), L’Épopée peule de Boûbou Ardo Galo. Héros et rebelle (K. Milébou Ndjavé) 118
• TANG (A.D.) et BISSA ENAMA (P.), dir., Absence, enquête et quête dans le roman francophone (S. Le Moigne-Euzenot) 119
• TERRAMORSI (B.), dir., Les Filles des eaux dans l’Océan indien. Mythes, récits, représentations (D. Ranaivoson) 120
• TSHITUNGU KONGOLO (A.), La Présence belge dans les lettres congolaises (T. De Raedt) 121
• VALAT (C.), dir., Littératures féminines francophones avec et autour de Maïssa Bey (C. CHAULET ACHOUR) 123
• Éthiopiques, n° sp. (Hommage à Aimé Césaire) (A.É. Temkeng) 124

_______________________________

NOTES BIBLIOGRAPHIQUES

• BALLADON (F.) et PEIGNE (C.), dir., Le Français en Afrique du Sud : une francophonie émergente ? (A.M.É. Adjoumani) 126
• COLLE-BAK (N.), LATHAM (M.), TEN EYCK (D.), dir., Les Vies du livre, passées, présentes et à venir / The Lives of the Book, Past, Present and to Come (R. Thierry) 126
• DANAÏ (O.-B.), La Littérature tchadienne en quinze parcours (L. Afui Nkili) 127
• DE RYCKE (J.-P.), Africanisme et modernisme (P. Halen) 127
• DIALLO (B.), Réalités et roman guinéen de 1953 à 2003 128
• MENDO ZE (G.), Cahier d’un retour au pays natal. Aimé Césaire. Approche ethnostylistique (A.-S. Catalan) 129

03 juillet
0Comments

Publishing in ELA (ALS – African Literature Studies)

Guidelines for submitting articles to ELA.

 

How to submit a text for publication in Etudes Littéraires Africaines

 

 

Books for review are to be sent to :
Maëline Le Lay (THALIM)*
Institut National d’Histoire de l’Art*
Galerie Colbert*
2, rue Vivienne*
75002 Paris*
FRANCE*

 

Manuscripts should be submitted as e-mail attachments saved in RTF format.

Contributors are expected to be members of APELA and subscribers to the journal.

 

The manuscripts for publication must conform to the following writing conventions

 

 

For articles in general:

Manuscripts should be double-spaced and use a 12-point Times New Roman font with foot notes in automatic continuous numbering. Submissions should not exceed 25 to 35.000 signs, including spaces.

A « blind » copy of the article should be sent along with an accompanying cover letter providing the name of the author with affiliation and the title of the article.

 

Submission guidelines

 

General dispositions.

Standard font (Times or Arial), 12-point size.

All other forms of writing styles and paragaph setting should be absolutely avoided. Authors are required to pay attention to the following instructions:

. do not use the shift key (except at the beginning of a sentence or a word)

. do not write entire words in upper case letters

. use accented upper case letters

. do not use tabulations (except for occasional tables)

. use non-breaking spaces before all double punctuation signs ( : / ; / ! / ?).

. use the em   dash

. use italics only for work titles and foreign words, except if the latter have been francized. In this case do not use italics and make sure that grammatical agreements apply (e.g., une mututsi, ou une femme tutsie). Whenever possible choose the French option : « bantou », « bantoue », « bantous » (instead of bantu)

. always use French opening or closing quotation marks. If there are quotation marks inside a quote, use English quotation marks (e.g., « elle avait du , cette joueuse »).

. any alteration in a quotation should be enclosed within square brackets : […].

. after a colon, if the quotation starts at the beginning of a sentence, the first letter remains capitalized; if the beginning of the quotation is elided, it is indicated by a lower case letter. E.g., Dans son Traité de ponctuation française, Jaques Drillon écrit : « Amusant de voir que le propre de la ponctuation est d’être muette […]. – Dans son Traité de la ponctuation française, Jacques Drillon écrit : « le propre de la ponctuation est d’être muette [ …] ».

. when one or several words are written in italics inside a quotation, always indicate who underlines after the page number. E.g., (p. 37 ; nous soulignons) – (p. 37 ; l’auteur souligne).

. All quotations in a language other than French  or English must be translated in the body of the text or in notes.

 

For book reviews and bibliographical notes:

. Book reviews should not exceed

  • 1000-1500 signs (including spaces) for a bibliographical note
  • 4000-6000 signs (including spaces) for a standard book review ; til 6000-8000 signs (including spaces) for a a collective work.

. In exceptional cases, when a work is deemed particularly important, the editorial board will give notice to the contributor that he can exceed the prescribed length as soon as he has been assigned the task of writing the review. If the required norms have been exceeded, the editorial board reserves the right to reject the review, or to ask the author to provide a shorter version or to carry out all the necessary cuts.

. As regards reviews of collective works, a review is not the systematic and linear listing of the different sections but a synthesis dealing with the major issues they analyse. For journals containing articles dealing with different topics, the reviews should bear only on articles having a literary relevance, and among them, on those which are the most interesting.

. do not use foot notes.

. all quotations from the reviewed works should be followed by page references.

 

 

Submissions for the « dossiers » and « varias ».

 

. The length of articles submitted for the « dossiers » is indicated to the contributors by the coordinator. The « varias » (articles outside the « dossier ») should not exceed 25 to 35.000 signs (save for exceptions in agreement with the editorial board).

. Note numbers should be superscript arabic numerals and placed immediately after the word referred to or the material quoted. The sign of punctuation ending the sentence (or part of the sentence) is placed AFTER the note number. E.g., Jules Dupont1  adorait les citations suivantes : « la fourmi n’est pas prêteuse »2, ou encore « après la pluie le beau temps »3.

. Do not use a bibliography at the end of articles (except if special permission is granted).

. Bibliographical references must feature in automatically processed footnotes and must be precise, complete and conform to the following presentation:

 

 

  • Dibwe Dia Mwembu (Donatien), Faire de l’histoire orale dans une ville africaine. La méthode de Jan Vansina appliquée à Lubumbashi (R-D Congo). Préface de Jan Vansina. Paris : L’Harmattan, coll. Mémoires, lieux de savoir – Archives congolaises, 2008, 264 p.
  • Rancière (Jacques), « Le philologue et le conteur. Littérature, communauté, démocratie », dans Construction d’espaces démocratiques en Afrique subsaharienne. Enjeux littéraires, enjeux politiques. Sous la direction de Maria-Benedita Basto. Paris : Éditions de l’EHESS-CEAN, 2007, 265 p. ; pp. 55-66.
  • Dibwe D.M. (D.), Faire de l’histoire orale…, op. cit., p. 113).
  • Rancière (J.), « Le philologue et le conteur… », cit., p. 61.

Do not use idem, ibidem, etc.

When there are numerous references to a single work or to a limited number of works (e.g., in the literary analysis of one or several novels), indicate the full bibliographical details when it is referred to for the first time then use an abbreviated form in the body of the text. References to L’Aventure ambiguë, for instance, will be noted as (AA ; p. 32).

 

References to electronic publications will use the following model: the author’s name, the full title of the document within quotation marks, the title of the complete work if applicable, in italics, the date or publication if available, the full http address within angle brackets, the date of visit. For example:
Tousignant (Nathalie), « Imaginaires coloniaux dans la Belgique “nouvelle” (1999-2004) : enjeux mémoriels », 32 p., dans Actes du colloque international Expériences et mémoire: partager en français la diversité du monde. Université de Bucarest, 12-16 septembre 2006, [éd. B. Jewsiewicki], non paginé, consultable sur le site de la Chaire de recherche du Canada en Histoire comparée de la mémoire (Université Laval, Québec), <http://www.celat.ulaval.ca/histoire.memoire/colloques/colloque_bucarest_2006.htm>, mis en ligne en septembre 2007, consulté le 30.10.2008.

 

Names of persons within the body of the text are always written in lower case letters (and not in upper case letters). First names are always fully spelt when mentioned in the text

Names of authors in bibliographical references: given the particular context of African literatures where family names can take on different non-abrahamic forms (i.e. surname, first name), the main name will always be identified with a graphic index: preferably by using lower block letters. The « postname »follows the main name; it is abbreviated in the following examples just as the first name is abbreviated in abrahamic formulations. Thus, for example: Sony (Marcel), then Sony (M.), for the early writings of : Sony Labou Tansi, then Sony L.T. in subsequent references. Or again : Ngandu Nkashama (Pius), then Ngandu N. (P.).

Headings : do not use numbers or combinations of numbers  such as : 1., I., 1°, 1.1 etc. They will be deleted by the editorial board. Verbal headings should suffice. Use only two subdivisions, one in bold letters, the other in italics.

Quotations : all prose quotations running more than three typed lines should be set off in a separate paragraph without quotation marks.

Graphic design: the final wording of titles, headings and abstracts of articles fall to the editorial board.

Please strictly comply with the specified formats regarding the number of signs and the timelines set by the editorial board.

 

 

Authoritative works of reference on the French language:

Drillon (Jacques), Traité de la ponctuation française. Paris : Gallimard, coll. Tel n°177, 1991, 472 p.

Grevisse (Maurice) & Goosse (André), Le Bon Usage. Grammaire française. Bruxelles : De Boeck/Duculot, 2007, 14e éd., 1600 p., bibl.

Le Grand Robert.

 

 

 

03 juillet
0Comments

The Editorial Team

Editor-in-chief:France.png

Xavier Garnier

xavier.garnier@sorbonne-nouvelle.fr

Editorial committee:

Nathalie Carré
Daniel Delas
Pierre Halen
Maëline Le Lay
Anthony Mangeon
Nicolas Martin-Granel
Florence Paravy
Mathilde Rogez

Postal address :

Centre « Écritures »
Université de Lorraine
UFR Lettres et Langues
Ile du Saulcy
F – 57045 Metz cedex 1

Science committee :

Maria-Benedita Basto (Univ. Paris IV)
Heidi Bosjen (Université de Roskilde)
Claire Ducournau (Université de Montpellier 3)
Adama Coulibaly  (Université Cocody-Abidjan)
Robert Fotsing (Université de Dschang)
Pierre-Philippe Fraiture (Un. de Warwick)
Kasereka Kavwahirehi (Université d’Ottawa)
Lydie Moudileno (University of Pennsylvania)
Silvia Riva (Università degli Studi di Milano)
Phyllis Taoua (Université d’Arizona)
Ieme Van Der Poel (Univ. d’Amsterdam)

 

 

 

 

03 juillet
0Comments

APELA: The Website

For any questions concerning the administration of the APELA site, please France.png
contact Ms Elara Bertho :
elarabertho@hotmail.fr

03 juillet
0Comments

APELA mailing list

APELA’s mailing list makes sure you’re up to speed with the latest newsFrance.png
on African literature. Please note that the mailing list is not a forum intended for debate or discussing personal matters, but a distribution list concerning the latest news in research. It includes:

• Information about upcoming conferences, symposiums and meetings
• Publication dates for critical works
• Opportunities to contribute to APELA and other projects
• Job vacancies and offers in the sector
• Topics of interest to the research community

Subscribing:

To subscribe to this list and get the latest news, send an email to Dominique Ranaivoson : RANAIVOSON-Hecht@wanadoo.fr. Please note that Hotmail addresses have presented some technical problems in the past when it comes to receiving the list; reception at this type of address is not guaranteed.

Distribution:

To post news to the APELA mailing list, please send an email to the following address: apela-infos@asso.univ-lorraine.fr.
Our list is supervised; messages are not posted automatically. The head moderator is Dominique Ravaivoson.
Please follow the guidelines below if you wish to post news to the list.
1. APELA’s mailing list deals strictly with messages about African literature studies. Except in special cases, the following topics are not accepted on the list:
– Messages concerning cultural or political events
– Messages concerning the researchers’ personal lives
– Messages concerning the publication of fiction
– Personal opinions or other issues that may incite debate
– Notices of issue concerning books published at other publishing houses with their own mailing lists (for example, L’Harmattan publishers).
2. All messages should be addressed to the research community; messages personally addressed to the moderators will not be posted on the list
3. All messages should contain the poster’s name and email address in the first line. The person posting the message is the sole responsible party for its contents.
4. Wherever possible, please include all the necessary information within the body of your message, and not in attached files containing pictures. If you wish to show an illustrated book cover or pamphlet, please upload them onto a server and include the link to this server in your message.
5. Other mailing lists may be of interest to APELA subscribers: FRAMONDE, which deals with francophony and linguistics (amelie.nadeau@auf.org) or L’Harmattan’s mailing list (http://www.editions-harmattan.fr/). Please note that notices of issue are not systematically posted on the APELA mailing list, unless these notices are contributed by members of the Association.